Frankenstein : l’opéra courtepointe
Grâce à une parfaite rencontre artistique orchestrée par Tim Brady, Sarah Albu, soprano et Marc-Olivier Lamontagne, guitariste, ont développé un projet innovateur de création collaborative. Il s’agit d’un opéra de chambre “courtepointe” d’une durée de 80 minutes pour soprano (Sarah Albu) et guitare électrique (Marc-Olivier Lamontagne) avec traitement sonore en temps réel. Le livret bilingue, élaboré par les interprètes et les compositeurs prenant part au projet, sera fondé sur l’histoire de Frankenstein de Mary Shelley.
C’est dans un esprit de collaboration que douze compositeurs de la relève ont été rassemblés autour de ce projet. Ainsi, à la manière d’une courtepointe - ou, en l’occurrence, à l’instar du corps du monstre de Frankenstein - l’œuvre formera un tout rapiécé à partir de l’esprit créateur de douze compositeurs. Chacun des compositeurs aura donc la tâche d’écrire un tableau d’une durée approximative de 5 minutes. Entre chacun de ces tableaux, des sections récitées et improvisées permettront à la trame narrative d’évoluer de manière cohérente.
En explorant les zones liminales entre les musique populaires et contemporaines à travers les formes et timbres, le contenu musical de ce projet exploitera des thèmes fondamentaux du récit original : les rapport nature/culture et homme/machine (musique acoustique/électronique), les effets de la technologie sur la société, le savoir interdit, l’arrogance de l’homme qui se substitue au Créateur.
Grâce à une parfaite rencontre artistique orchestrée par Tim Brady, Sarah Albu, soprano et Marc-Olivier Lamontagne, guitariste, ont développé un projet innovateur de création collaborative. Il s’agit d’un opéra de chambre “courtepointe” d’une durée de 80 minutes pour soprano (Sarah Albu) et guitare électrique (Marc-Olivier Lamontagne) avec traitement sonore en temps réel. Le livret bilingue, élaboré par les interprètes et les compositeurs prenant part au projet, sera fondé sur l’histoire de Frankenstein de Mary Shelley.
C’est dans un esprit de collaboration que douze compositeurs de la relève ont été rassemblés autour de ce projet. Ainsi, à la manière d’une courtepointe - ou, en l’occurrence, à l’instar du corps du monstre de Frankenstein - l’œuvre formera un tout rapiécé à partir de l’esprit créateur de douze compositeurs. Chacun des compositeurs aura donc la tâche d’écrire un tableau d’une durée approximative de 5 minutes. Entre chacun de ces tableaux, des sections récitées et improvisées permettront à la trame narrative d’évoluer de manière cohérente.
En explorant les zones liminales entre les musique populaires et contemporaines à travers les formes et timbres, le contenu musical de ce projet exploitera des thèmes fondamentaux du récit original : les rapport nature/culture et homme/machine (musique acoustique/électronique), les effets de la technologie sur la société, le savoir interdit, l’arrogance de l’homme qui se substitue au Créateur.